Parler de mobilité c’est parler de ralentissements subis en voiture, de difficultés à trouver du stationnement et de mobilité douce.
Le trafic dans nos villages est impacté par 4 paramètres :

  • Déplacement vers lieu de travail, en dehors de la commune
  • Déplacements dans la commune
  • La structure de l’habitat des centres de villages, rarement pourvu de garage, dont les occupants possèdent plus d’un véhicule.
  • Trafic importé de communes voisines pour rejoindre la E429 ou par les camions à destination des Carrières

Pour les premiers, selon la situation, l’utilisation des transports en commun, le co-voiturage peuvent réduire le nombre de véhicules et les nuisances.

Pour les seconds, plusieurs alternatives à la voiture, selon l’éloignement :

  • le déplacement à pied/à vélo. Pour ce dernier, le marquage du déplacement cyclable entre la N6 et N7 sécurisera les cyclistes (en cours de réalisation)
  • une utilisation optimale des parkings à l’entrée de nos centres de villages permet de réduire le trafic local

Des mesures structurelles pour certaines voiries étroites, déjà occupées par le stationnement des riverains, pourraient améliorer la fluidité du trafic. Ce type de décision, liée aux moyens de limiter la vitesse, ferait l’objet d’une consultation large des riverains.

Quant au dernier point, le remplacement, à terme et bien pensé, de la Drève Léon Jacques devrait délester nos centres du trafic concerné.

Les solutions plurielles retiennent notre attention. L’évolution de notre habitat et nos moyens financiers, forts sollicités pour l’entretien des voiries, nous obligeront à être inventifs !